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9-10 juin – 20h – CPO (Lausanne) – CMI Classique
11 juin – 17h – CPO (Lausanne) – Familiomédie
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Nos anciennes représentations:
Vendredi 19 mai 2023, nous étions au Camp des scouts neuchâtelois pour une micro-CMI qui suivait la transition d’un escargot de terre à un escargot de mer, retrouvant sa coquille au fond de l’océan, laissée ici par ses parents qui l’aimaient très fort.
Les 5 et 6 mai 2023, nous étions à l’Echandole (Yverdon-les-Bains) pour deux représentations de Backstage.
Jeudi 4 mai 2023, nous étions à Epalinges pour une Micromédie devant un public de 300 élèves : après avoir incarné une démonstration de Cristiano Ronaldo dans un restaurant tenu par une serveuse tueuse, nous racontions l’histoire de Magali la chanteuse, de son tube publicitaire pour la viande de porc et sa rencontre avec Migala la Mygale. Après s’être envolé pour Las Vegas, elles convainquaient la planète de manger davantage de légumes.
Samedi 29 avril 2023, nous étions à Bernex (Genève) pour une CMI époustouflante : Chantal et Cynthia habitent à Bernex, village paisible dans la nature où les tâches quotidiennes sont rudes: traire les vaches Marguerite et Spiruline, les masser pour éviter les lumbagos et tailler non-stop les bonsaïs. Arrivent de la ville, Judith et sa maman Léa. Judith vit la tragédie de sa vie et veut retourner en ville – Kevin, son amoureux, y est resté et ne peut pas venir la voir car il est bussophobe. D’ailleurs il n’y a qu’un bus à Bernex – la ligne n° 2: l’horreur! Léa est une mère protectrice et dépassée, elle veut s’intégrer auprès des voisin·es et oblige sa fille à participer au cours de trampoline, seule activité du village. Alors que Cynthia fait comprendre aux nouvelles voisines qu’elles ne sont pas les bienvenues, Judith fait un apprentissage auprès de Chantal pour l’aider à traire les vaches mais elle va surtout lui rappeler que dire « Je t’aime » résout bien des choses. Cynthia et Chantal revivent leur grand amour, Léa se passionne pour les bonsaïs et grâce à sa chanson rap qui ne montre pas d’émotions, Kevin réussit à dépasser sa phobie des bus et rejoint Judith en campagne. Ainsi, « tout le monde se dit des choses à Bernex et se sent aimé ».
Mardi 22 mars 2023, nous étions à Cornaux (NE) pour deux représentations de la Familiomédie : le matin, Elsa la Fée-Chat-Licorne cherchait à ra-conter des histoires de rat à sa soeur Clémentine (les rats avaient disparu du royaume des Fées-Chats-Licornes parce que c’était trop propre et les chats les pour-chats-ssaient). Sur les conseils du Vieux Lutin, Elsa empruntait la porte interdite pour aller dans le Royaume de Gauche; chez les rats, elle apprenait plein d’histoires à raconter à sa frangine.
L’après-midi, Agathe la licorne s’ennuyait sur son nuage. En voulant se mettre au surf avec son prof Stanley, Agathe découvrait qu’elle avait un don pour polir les planches de surf; mais la planche glissait trop vite et faisait couler Stanley, puis Julien, jusque dans le royaume du Renard Jaloux (qui régnait dans la cité sous-marine). L’aspirateur à renard ne parvenant pas à s’allumer sous l’eau, c’est donc en enseignant au Renard à jouer au foot qu’il parvenait à divorcer de sa partie jalouse, ce qui permit à Agathe de trouver un but à sa vie.
Du 10 au 12 mars, nous étions au CPO (Lausanne) pour 3 représentations de Backstage.
Dimanche 12 février 2023 nous étions à la Grange avec Backstage pour conclure le Festival Rolande Léonard. L’occasion de soundchecker le À-sec! Festival près de Copenhague pour célébrer la vidange du lac voisin, une panne d’électricité monumentale et la débrouillardise des groupes locaux.
Le 20 janvier 2023 nous étions à la Bavette de Monthey pour des représentations de la Familiomédie.
Dimanche 15 janvier 2023, nous étions au CPO pour une Familiomédie qui n’avait pas le vertige : la reine du Royaume-d’en-bas partait à l’assaut du château du Vide, rencontrait le Ripanda qui lui apprenait à rebondir dans la vie et suivait les enseignements de Giorgio le coach de cinéma. Au terme des 99 étages, elle apprenait à dépasser sa peur. Une histoire qui a pris beaucoup de hauteur mais qui a su retomber sur ses pattes.
13-14 janvier 2023 – 20h – CPO (Lausanne) – CMI Classique
Vendredi 23 décembre 2022, on chantait notre dernière Familiomédie au Théâtre du Pommier de Neuchâtel : Jim vit dans une maison au bord de la mer avec un toit en dents de requin. Quand il a froid il rentre ses bras dans son T-Shirt et met des gants pour aller surfer. Un jour il part surfer au-delà des bouées et il y rencontre la faune marine dont un éléphant de mer, une baleine et un requin philosophe. Il se fait enfermer dans une bouteille de PET géante pendant 10 ans. De retour à la maison, une poubelle qui parle avale ses parents et ne les recrachera que si Jim nettoie la plage des déchets, ce qu’il fait avec l’aide des animaux marins et des goélands.
Jeudi 22 décembre 2022, 2 Familiomédies : la première démarre dans un grenier : Suzy la souris invente des cauchemars pour faire peur à Marco l’éléphant. Celui-ci, exténué, arrive en retard et se fait coller pour une heure de retenue. Le pion – Mme Crocodile – lui révèle que l’avoine peut le réveiller et lui permettre d’attraper la souris en plein travail. Marco s’exécute et surprend Suzy, celle-ci implorant son pardon : si elle arrivait à faire des cauchemars plus horribles, elle retrouverait ses lunettes et pourrait inventer de meilleures histoires. Marco aide Suzy à avoir moins peur des araignées, pour pouvoir utiliser celles-ci dans ses futurs cauchemars. Le plan fonctionne à merveilles, la souris récupère ses lunettes et les deux font désormais de superbes cauchemars à deux.
La deuxième démarre dans une pizzeria, avec l’histoire d’amour entre Giulietta et Jules, l’une accro au pizza et l’autre allergique au gluten. Suite à un accident de foccacia, la rencontre avec le Phoquatigre est déterminante et révèle à Giulietta son amour pour les avions à réacteur. Les deux tourtereaux rencontrent le grand-père de Jules qui les fait voler et recueillir quelques espoirs grâce à son attrape-rêves.
Mardi 20 décembre 2022, 2 Familiomédies : Mali le Chat roux à taches blanches ne sait pas faire de choix. Il hésite beaucoup mais grâce à son travail au McDonald il s’améliore dans la prise de décisions en choisissant les menus des gens. Girafa, designer chez Dolce Gabbana, le repère et l’engage pour choisir les tissus et créer les plus belles robes. Mali crée des milliers de robes et surtout une paire de gants qui s’adaptent à chaque espèce. Il devient célèbre, gagne le trophée et quitte l’entreprise vexé car Girafa avait juste « pensé » à le virer. Madame Souris, directrice du McDonald, refuse de réengager Mali. Il ouvre alors le Matou-Donald qui propose aux gens une aide dans la prise de décision et surtout de prendre le temps de la réflexion. Un grand succès.
Deuxième histoire : le Père Noël tombe de tristesse et ne distribue pas les cadeaux le soir de Noël car il n’est connu que pour être « Le Père Noël ». On ne sait rien de lui. Mais après avoir rencontré Pur-sang l’étalon et d’être allé sur la planète coeur qui révèle tes envies, il retourne sur Terre et promet de distribuer les cadeaux à plusieurs conditions : avoir 8 chevaux consentants pour tirer le traîneau et que les enfants lui posent au moins UNE question pour apprendre à le connaître. Les enfants acceptent les règles, lui posent des question et apprennent beaucoup de choses sur lui : il aime les films de Steven Siegal, le foot mais surtout l’équipe du Sénégal , les gâteaux chauds, les spectacles de Mylène Farmer. Le Père Noël est heureux. Et depuis ce jour, le Père Noël a offert aux enfants le plus beau cadeau, la curiosité .
Lundi 19 décembre 2022, nous étions au Théâtre du Pommier pour deux représentations scolaires : Sherpa la tigresse du zoo fait un rêve et se souvient de sa visite au Kenya et du bonbon à la réglisse de sa grand-mère. Elle creuse un trou dans sa cage, rencontre Gertrude la dauphine qui lui donne un bonbon à la réglisse qui peut libérer des pouvoirs chez celles qui l’avalent. Tout le monde commence à convoiter ce bonbon réglisse et c’est Coco le perroquet qui finit par en avaler un petit bout en tentant de le protéger. Il se transforme en énorme dragon et peut donc alimenter le ballon à air chaud qui amène la tigresse, le perroquet-dragon et la dauphine au Kenya. Quelle ne fut pas la surprise des Kenyans.
Pour la deuze : à la piscine en plein air, Sandra la gardienne de bain doit trouver un remède contre le fait que les mouettes font des déjections à base de gnocchis sauce tomate. En même temps les mouettes se jettent sur le bassin olympique et commencent à s’entasser frénétiquement. Le hic c’est que Sandra a peur de l’eau et ne sait pas nager. Elle apprend à aller sous l’eau dans sa baignoire et peut sauver quelques mouettes. Mais pour réparer le bassin (il y a quelques catelles qui manquent au fond de la piscine) elle doit à nouveau plonger et réparer le bassin. L’hydrogéologue ne l’aide pas monstre non plus, Marius le chat la pousse du coude, sans mentionner la directrice madame Pisciniste qui lui met un délai sinon elle la vire, bref à la fin Sandra parvient à sauver tout le monde en luttant contre sa peur de l’eau.
Dimanche 18 décembre 2022, nous faisions une Familiomédie : Edgar, le chien-licorne, vit seul dans le monde imaginaire. Il s’ennuie et fait malencontreusement tomber un arc-en-ciel. Avant que cet arc-en ciel ne devienne transparent et disparaisse, il doit lui trouver des béquilles pour le redresser. Il part dans le monde normal, à l’hôpital. Y fait la rencontre d’une panda roux qui n’aime pas s’habiller le matin, un hanneton urgentiste et une libellule maîtresse d’école. Edgar apprends que les seules béquilles d’arc-en-ciel sont des crayons de couleurs. Edgar, le hanneton et la libellule partent à la recherche de crayons aux couleurs de l’arc-en-ciel : rouge, jaune, orange, bleu, vert, violet et la couleur mystère. Les crayons poussent sur les arbres de la clairière. Edgar les récupère et les trois compagnons partent au pays imaginaire. Il recolorient l’arc-en-ciel devenu presque transparent et découvrent que la couleur qui manquait était les paillettes. Hanneton a faillit mourir. Libellule est enfin devenue maîtresse au château du pays imaginaire. Et Edgar a enfin de la compagnie.
Samedi 17 décembre 2022, nous étions au théâtre du Pommier pour une Familiomédie publique : l’histoire de Brigitte, triste parce que l’hiver est froid. Mijon l’abeille et ses 250 congénères viennent squatter chez Brigitte pour échapper aux congères. Du coup Brigitte se met la pression (financière) au pressing par Monsieur Gorille. Pour gagner de l’argent, elle tente de vendre du miel, encore faut-il un peu de pots. Le potier (l’arbre à pot, donc) ne devient accessible que grâce à Martin, qui vole avec ses gants et permet d’apprendre à Mijon à marcher sur ses poils de tétines d’abeille. Monsieur Gorille est pris dans le verglas, le miel se vend comme des petits pots et tout finit bien. Le bonheur est une abeille : parfois elle tourne en rond, mais au bout du compte ça laisse toujours un petit goût sucré.
Vendredi 16 décembre 2022, nous faisions un Concert Improvisé dont voici la playlist écourtée : Salade dans la molaire (un hommage à l’inventrice des cure-dents), Illuminati (une chanson complotiste pour les enfants) et Octopus Lover (un groupe punk « qui fait aussi les anniversaires si jamais »). Épique.
Jeudi 15 décembre 2022, nous étions au Pommier (Neuchâtel). Une CMI dans un univers post-apo, à Lausanne, en 2046, dans une coloc de survivalistes, et qui se termine en 2060, au Colisée, dans une communauté autogérée qui se reconnecte avec la nature. L’Elu – prophétisé par le cercle de Femmes – est né de Belinda, et Belinda vient reconnecter avec son fils. Au passage, on aura croisé le chemin d’un Sergent Major de la Protection Civile déguisé en armoire, d’un chien fort en chanson mais nul en mime, et d’une shamanalamandre – une salamandre shamane.
11 décembre – 11h et 15h – Maison de quartier de Chailly (Lausanne) – Familiomédie
Le 10 décembre 2022, nous étions à la Maison de quartier de Chailly (Lausanne) pour deux Familiomédies : la première racontait l’histoire d’Eglantine et Marco, deux sapinistes qui coupaient Georges le Sapin et se faisaient maudire par lui, devenant irrémédiablement malchanceux. Ruinés, il n’y avait plus que Gus leur canard de bain pour les prendre en sympathie, leur annoncer que sa maman cane était une ex-poule aux oeufs d’or. Après avoir retrouvé le rouge à lèvres de la mère Cane auprès de la top-modèle Jessica et s’être fait poursuivre par des lions de garde, le trio parvenait à retrouver la bonne fortune et se faire pardonner par Georges le sapin.
Pour la deuxième histoire, Elsa s’envolait avec son frère Sylvain dans une grande Grande Roue. Séparée de son frère, elle atterrissait dans le Sahara, échappait au cachot moche de la reine des poules-chameaux, redonnait le sourire au triste sire du désert, frottait la bière belge pour faire apparaître le Génie de LA direction, alunissait sur la face cachée de la lune, rassurait le couple royal et revenait sur Terre avec ce proverbe : « Si tu ne sais pas où tu vas, tu mettras beaucoup de temps pour y arriver – proverbe Touareg. »
Le 9 décembre 2022, nous étions à la Maison de Quartier de Chailly pour 2 Familiomédies :
Familio 1: Marco est fâché en permanence. Il vit près de la forêt différente où certains arbres volent. Lui aussi rêve de voler. Un jour, il s’embrouille avec sa maman et part dans la forêt. Un trio de nuages orageux arrivent en rappant et poussent les arbres volants. Marco s’accrochent à l’un d’eux avec son chat et ils se retrouvent au Nord, où la forêt est dirigés par deux tigresses, Suzanne et Martine. Sauvé par son gilet bleu ciel offert au tigresses, il réussit à s’échapper et revient rempli de joie d’avoir pu voler. Marco n’est plus fâché et reprend sa vie, même si personne ne le croit.
Familio 2: Basile, 82 ans, vit seul avec son canari Kikou. Il vit dans un immeuble et est le gérant du planning de l’utilisation de la balançoire du quartier. Pendant 50 ans, il a construit un parc d’attractions en cachette au sous-sol de l’immeuble. Il est dédié à Kikou et uniquement à Kikou. Un jour, Kikou part mais grâce aux encouragements de Marco, un ado du coin, Basile décide quand même d’ouvrir son parc pour les jeunes du quartier. Désormais, Basile reçoit fréquemment des visites , est moins grincheux et partage même de temps en temps ses nuggets.
Le 7 décembre 2022, nous étions à la Tournelle (Orbe) pour une Familiomédie, mix entre West Side Story et Ratatouille : Jim Bean et Jane Compost sauvaient le pont de San Francistrop, repoussaient le gang des chats et sacrifiaient le doudou Biftecchino pour rétablir les égouts du pont du Golden Gate.
Lundi 21 novembre, on faisait deux Familiomédies scolaires à l’Echandole (Yverdon) : dans le grand centre commercial du petit village d’Ependes, Mathias le mannequin en plastique et Sergio le ballon de football de la coupe du monde 1988 prennent vie. Alors qu’ils s’enfuient pour mener une carrière brillante au FC Ependes, le styliste Sergio et la nouvelle stagiaire de l’établissement se figent mystérieusement après avoir mangé une tarte au citron. C’est alors que l’on découvre dans le laboratoire secret du centre commercial que seul le ballon de football peut fournir l’ingrédient manquant pour les ramener à la vie.
L’après-midi, on partait d’une prairie calme et paisible : une biche bizarre et un ours se querellent. La biche (que tout le monde décrit comme une sacrée menteuse), se décide à quitter la prairie pour aller vivre sous la grande chaise de granit. Lorsqu’elle arrive sur place, elle est emprisonnée pour être mangée par le roi de la chaise, affamé depuis que les bonbons aux fraises manquent au royaume.
La biche comprenant son sort décide de s’échapper, elle rencontre sur sa route un étalon frimeur mais sacrément beau gosse. Après une course poursuite endiablée entre l’armée du roi et les deux comparses, l’amour triomphe grâce aux grenouilles de l’étang. Les deux quadrupèdes vivent alors des jours heureux, gardant leur indépendance polyamoureuse, secret de la longévité de leur couple.
Les 28 -29 octobre, nous étions au Théâtre du 2.21 (Lausanne) pour Les Chaises Musicales en collaboration avec la Cie Matea et le Cabaret Littéraire.
Vendredi 7 octobre 2022 au CPO, on a raconté l’histoire de Lilla, fille de 13 ans qui dessine pour s’évader et cherche à se rebeller contre ses parents fraîchement divorcés. On a rencontré Dino Peregrinelli, ou Perazzini, ou Perazzoti, le meilleur architecte de sa génération qui désespère d’être l’objet du désir de tout le monde et qui n’arrive plus à dessiner de pyramides. On a assisté à une séance groupée de Therapyramide et un voyage express en Égypte. On a été touché par Philippe, spécialiste très intense des tombeaux de pharaons et fidèle employé du grand émir Amed Abil. On a chanté la fierté de deux parents et le talent enfin reconnu d’une fillette.
Vendredi 8 juillet 2022, nous faisions l’ouverture du concours théâtral de Faoug, avec une CMI classique où on nous suggérait des vacances à Saint-Jean-de-Luz chez un pote d’athlétisme. On a donc chanté l’histoire de Thierry, coureur de fond du Vully qui mettait un terme à sa carrière suite à son divorce d’avec Margrit. Il partait en quête initiatique pour assumer sa nullité, rencontre l’âme soeur dans la personne de Roselyne la marionnettiste et vaincre l’amant de son ex-femme dans une course à trois à Savigny-nach-Düsseldorf. « Tu es mon stade de France / Mon coeur immense« , un tube instantané.
Les 10, 11 et 12 juin 2022 nous étions au CPO pour trois représentations. Dimanche pour la Familiomédie, c’était l’histoire d’un chien qui pouvait voler. Il osait pas le dire parce qu’il trouvait ça bizarre, puis il l’a dit et tout le monde en a profité, puis il a osé dire non et revenir du château duquel il s’était fait bannir en affirmant que c’était chez lui.
Dimanche 29 mai 2022, nous enjaillions les mômes lors d’une Familiomédie mémorable : suite à une colère tempétueuse du syndic de Vuisternens-devant-Romont, Gontran le furet subissait la fermeture du buffet de la gare. Comme il voulait apprendre à voler, son ami Kroki le corbeau lui léguait les ailes de sa tante, patinées mais encore bien solides. Le vent les portait jusqu’à la caserne de Romont, où il devenait chef étoilé des militaires ragaillardis. Poursuivi par le syndic de Vuisternens (toujours le même tigre), il revenait dans son village, prenait le pouvoir et faisait preuve de tellement d’ouverture d’esprit que même les vents finirent par s’essoufler.
Le 27 mai 2022, nous étions au Zénith de Château-d’Oex. On suivait les aventures de Mireille, employée d’Aquatis. Un job pas fait pour elle, malgré une lignée familiale fanatique de poiscaille et autres animaux sous-marin. Elle s’essayait à la varappe, découvrait les coulisses à délices d’un carnotzet, rencontrait Chantal la veilleuse de nuit. Elles allaient se télescoper avec deux extraterrestres, puis redémarrer leur vaisseau spatial à l‘aide d’arêtes de poissons d‘Aquatis – ce qui au passage était un ego-boost pour ces animaux dépressifs enfermés. Les OVNI partirent sur la planète Gleblrrr avec Chantal pour une vingtaine d’années. Entre deux essayages de chaussures de grimpe dans un magasin dont Mireille était maintenant la propriétaire, Chantal lui racontait ce doux souvenir et son envie de revenir sur terre par ce que son télescope lui manquait trop.
Le 7 mai 2022, nous étions au Nouveau Monde (Fribourg) pour un Backstage endiablé.
Le jeudi 21 avril 2022, nous étions à Epalinges dans le cadre du concours théâtral de la FVJC. Marguerite découvrait l’hôtel Panama et ses occupants alors que son couple avec Isabelle battait de l’aile.
« Être dans l’instant présent », c’est l’adage de cet hôtel. Cynthia (son blaze de jeunesse) galérait à maintenir les finances du Panama en étant dans tous les postes à responsabilités (ou pas) de ce dernier. Au final c’est Robert – un des habitués des lieus qui sauvera la mise car il était milliardaire sans que personne ne le sache. Et Marguerite recollera les morceaux avec Isabelle en revenant ressourcée de son séjour à l’hôtel Panama.
Le jeudi 7 avril 2022, nous étions à la Maison du Récit (Lausanne) pour une Micromédie. Joaquim, un éducateur de djeunes, essayait de séduire la meuf de son meilleur pote qui avait hérité d’un mas dans les Ardennes, dont le grenier ne recelait que des objets au pluriel. Ce fut singulier.
Les 25, 26 et 27 mars 2022, nous étions au CPO-Ouchy (Lausanne) pour notre création BACKSTAGE – “le documentaire d’un festival qui n’a jamais existé”. Nous avons improvisé le Festimorille, le Festicompost et le Festicampagne.
Le samedi 19 mars 2022, nous étions au Théâtre du Reflet pour une Mini-CMI « Morceaux de Choix » dans le cadre du Toï Toï Théâtre.
Jeudi 3 mars 2022, nous étions au Théâtre Waouw (Aigle) pour deux CMI à multiples rebondissements : les salines de Bex étaient quasiment épuisées, et les ouvriers apprenaient que l’un des leurs, Jean-Claude, partait dans le Haut-Valais pour moudre le sel à Hauserberg, dans des mines dirigées par un énarque totalitaire. À la fin, il était remplacé par le fils d’un ancien mineur, l’amour se révélait et tout le monde vivait en paix.
Dans une deuxième histoire, une famille girafe regardait son girafon partir pour son initiation. Le girafon se faisait piquer un collier en or par trois lions qui voulaient le manger. Le girafon rencontrait ensuite une orang outang qui n’avait pas d’ami et qui lui offrait un nouveau collier. Ielles rencontraient un vautour qui voulait devenir Perroquet, la sécheresse et la famine frappait la savane et à la fin le girafon convainquait ses parents de partager équitablement les ressources grâce à la chanson « on ne perd rien à tout donner ». Bref, tout le public s’est rendu compte qu’on était des communistes.
Lundi 27 décembre, nous animions les 25 ans de la Soupe à L’Ours au gymnase du Bugnon. On a demandé un lieu, on nous a donné un musée avec la Joconde, alors on a découvert un passage derrière le tableau qui nous emmenait dans les coulisses du musée, où Sylvie tombait amoureuse de Baptiste l’étudiant en histoire de l’art, malgré les avances de Marcus le chef gardien. Une histoire qui a su ravir les amateurs de Vazarely, les admiratrices de la Vénus de Milo et le lectorat de Marc Lévy.
Le 17 décembre 2021, nous étions à l’Echandole pour une CMI classique, où un retraité en EMS réussissait à convaincre son infirmier de lui procurer une dose agréable de cannabis. Durant son trip, son subconscient et son sur-moi lui faisaient voir l’histoire d’un trio d’ami·e·s en vacances en Guadeloupe dans un AirBnB dont la piscine était vide. Et si le pisciniste guadeloupéen est l’infirmier étaient en fait la même personne ? Oui.
Dimanche 12 décembre 2021, nous racontions (en Familiomédie) l’histoire de Fred le tigre triste qui s’échappait du zoo d’Essertines-sur-Yverdon, qui rencontrait la chouette revêche des forêts de Mathod et qui s’envolait pour son Sumatra natal.
Vendredi 10 décembre, nous étions au CPO pour une suggestion assez floue (Victor « faisait des choses », « aimait les spectacles d’impro » et « habitait dans un quartier »). Par conséquent, la troupe a révolutionné l’art de la métalepse, pour proposer une histoire de retour vers le futur, d’acheter l’Afrique avec des eurocrédits, de percer à jour les découvertes du professeur Schönberger et de faire le bien ou le mal. Une CMI qui aura réjoui les amatrices de physique quantique et les fans d’Albert Einstein.
Jeudi 9 décembre 2021, nous étions au Casino d’Orbe pour deux représentations scolaires, pour évoquer une Super-Mamy-Poule qui s’échappait en volant d’une McPizzeria en feu et pour raconter la malédiction de la bave près de l’oreiller.
Le samedi 27 novembre 2021, nous étions au Théâtre du Reflet pour une Mini-CMI dans le cadre du Toï Toï Théâtre. L’occasion de suivre les impulsions de mômes inspirés, qui ont choisi pour nous la destinée de Marc la Fouine – ingénieur en ponts – qui travaillait sur un projet pour relier les arbres des soeurs araignées. Mais comme il était payé des cacahuètes, il refusait le job. Nilda et Hildegarde Arachnea assiégèrent l’arbre de la fouine, et sans l’intervention salutaire de Stanislas la Limace et de la Chouette Revêche, c’en eût été fini du pauvre ingénieur.
Le vendredi 12 novembre 2021, nous jouions au festival Improvisible de la Tour de Peilz. Une histoire qui renfermait une autre histoire. Des billes, un match de foot. De l’amour parfois réciproque et parfois moins. Et un dragon qui jouait du saxophone…
Le samedi 2 octobre 2021, nous étions à l’Aula du collège de la Plaine à Chavannes-près-Renens : c’était l’histoire de Simone qui, se découvrant une passion pour le jeu Just Dance, sacrifiait sa relation avec son petit ami Jean pour aller au bout du rêve et participer à la compétition mondiale de Just Dance. Jean demandait alors l’aide du maître incontesté au Japon et celui-ci envoyait un coach mystérieux pour accompagner Simone. La carrière d’Etienne, employé Nintendo, reposait sur ses épaules. Alors qu’elle s’apprêtait à gagner la manche finale, Simone découvrait Jean dans le public et plaquait tout pour chanter l’amour avec lui. Le vrai public a fait les chœurs, tout le monde chantait “je t’aime Simone” à la fin. L’émeute.
Le dimanche 26 septembre 2021, nous jouions une Familiomédie au CPO-Ouchy (Lausanne), où l’on racontait l’histoire du plus grand des chasseurs de loups, qui se mesurait à la plus grande des chasseuses de loups (qui est aussi sa sœur, mais ils ne le savent pas) dans une course effrénée au pouvoir, jonchée de boîtes contenant jambe et nichons, biches sacrificielle, de loups avec ou sans superpouvoirs, de patriarche au tintébin. Il y a l’écorce visible et sous beaucoup de couches… le noyau.
Le 22 août 2021, nous étions au Festival Été au Verger Veyrier (GE) pour une CMI classique.
Dimanche 6 juin 2021 c’était la grande REPRISE avec une Comédie Musicale Improvisée à la Maison de Quartier de Chailly dans le cadre du festival Court-Circuit. On a raconté l’histoire de Cindy, membre des Scouts du groupe « Les Roseaux de Laloue », qui avait hérité sans le savoir de l’animal totem du Loup Blanc, détenu jusqu’alors par une seule personne : Gilbert Delacrettaz, fondateur de l’association et ancien amoureux de sa grand-mère. Emmenés par ce totem puissant, les Roseaux de Laloue remportaient la course Sauvabelin-Chasseron, leur épargnant une douloureuse fermeture. Le Chevreuil, le Hamster, le Loup et la Tortue de mer forment désormais une équipe soudée et inégalable.
Samedi 31 octobre 2020, nous étions au Théâtre du Reflet (Vevey) pour une représentation de Toï Toï Toï – Mini-théâtre, en suivant Hugo, l’hippopotame anorexique rejeté par ses parents. En longeant le fleuve Popoco et grâce aux conseils du singe-chaman, il découvrait la vallée des saucisses et retrouvait un poids acceptable (et surtout il rencontrait son âme soeur, la petite Brigitte Schublig).
Vendredi 30 octobre 2020, nous étions à l’Echandole pour 2 séances de 60 minutes (histoire de nous conformer aux jauges limitées à 50) pour improviser l’invasion du Valais par un nationaliste vaudois, et le monde surprenant d’une entreprise de farces et attrapes.
Samedi 10 octobre 2020, nous lancions nos festivités et surprises de la 10e saison anniversaire ! Une médecin du public nous a confié avoir pris conscience pour la première fois que le temps passait lors de l’anniversaire de ses 10 ans; nous avons tout naturellement improvisé autour du destin d’un homme qui n’avait plus de souvenirs, du Dr Poltergeist qui voulait devenir le clown PipiKuku et de Jérôme qui a joué dans la première scène.
Du vendredi 9 au dimanche 11 octobre 2020, nous créions la Familiomédie Bricozicale Improrimée, notre format jeune public soutenu par le Canton de Vaud et la Loterie Romande. L’occasion de raconter les histoires de Sophie qui n’avait pas peur de l’eau, de Jimmy qui voulait l’égalité entre les chats et les souris et de Céleste la paresseuse qui perturbait le train-train minéral de Sylviane et son chemin de pierre montagnard.
Dimanche 27 septembre 2020, nous étions au Musée de l’Elysée pour fêter son déménagement, mais aussi pour inventer une quarantaine de chansons à travers l’exposition photo.
Jeudi 24 septembre 2020, nous étions au CERAS de La Chaux-de-Fonds pour fêter leur 30e anniversaire avec un Concert Improvisé du tonnerre de Dieu.
Samedi 8 juillet 2020, nous collaborions avec le Collectif EtMaintenant pour 5 mini-représentations au CPO-Ouchy (Lausanne); l’occasion de faire la nique au virus et de réjouir quelques happy fews autour de nouveaux mini-formats.
Vendredi 7 février 2020, nous étions aux Capucins (Romont). On nous a proposé un SMS polémique sur les récoltes de signatures pour les pétitions qui étaient financées par les partis, et on s’est éclaté autour du Conseil Fédéral Fribourgeois, de l’élevage des saumons près d’Evian et d’une famille PLR qui avait des airs de tragédie grecque.
Jeudi 6 février 2020, nous étions au Théâtre du Pré-aux-Moines (Cossonay). On a chanté le sort d’une grue dans un jardin, d’un homme qui avait peur de l’eau mais qui prenait un bateau et d’une maman-dauphin qui sauvait le paquebot sur la mélodie de « Push the coque ».
Les 17-18-19 janvier 2020, nous étions au CPO. On a parlé araméen, dansé sur des sangsues et redéfini la fonction d’un picier avec l’AJAR.
Du 3 au 19 décembre 2019, nous inaugurions notre création « Morceaux de Choix » dans le cadre des Midi-Théâtre, avec une tournée à Yverdon-les-Bains, Porrentruy, Delémont, Bienne, Villars-sur-Glâne, Sion, Vevey et Rolle. Un gargantuesque merci à l’équipe de l’Echandole, du CCP, du CCRD, de Nebia, de Nuithonie, du Théâtre de Valère, du Reflet et du Casino-Théâtre de Rolle !
Vendredi 14 décembre 2019, nous étions au Théâtre Le Caveau (Genève), pour une histoire de cambriolage, de ratons-lovers et d’assurance-grêle. Un public formidablement participatif nous a tendu des châteaux gonflables en doudoune et des échelles de corde en écharpe !
Mardi 3 et mercredi 4 décembre 2019 nous étions à l’Echandole (Yverdon-les-Bains) pour un Morceaux de Choix racontant les aventures d’un héron qui rompait avec une grenouille et d’un moine qui avait du retard à la bibliothèque. La part belle à La Fontaine et à St Thomas d’Aquin.
Vendredi 8 novembre 2019, nous étions au CPO, où nous suivions la formation d’un jeune vendeur de marrons chauds, harcelé par des corbeaux et aidés par les super-pouvoir d’une fille qui pouvait faire léviter les chaises d’hopital.
Samedi 9 novembre, on parodiait La vie est un long fleuve tranquille à Charmey. Le professeur Schweinstein mélangeait Dorian & Florian et le professeur Rognon nous expliquait à quel point les sociologues étaient tous des marxistes.
Dimanche 10 novembre, nous inaugurions la première Familiomédie avec l’histoire d’un dragon de feu qui séduisait une dragonne de glace grâce à une moufle en forme de pingouin et un restaurant de Tacos-Burger-Kebab.
Samedi 2 novembre 2019, nous jouions une Micromédie à la Spirale de Fribourg. Un délicieux accueil pour une triomédie qui suivait l’émancipation d’une peintre amateure, l’odyssée d’un grec alcoolique et les secrets d’un gardien du MOMA. « C’est un Dali ? – Non. – Alors c’est un délit ! »
Vendredi 25 octobre 2019, nous étions à l’Echandole d’Yverdon-les-Bains. On nous a parlé d’une fête costumée autour d’un tas de fumier, alors on a improvisé la double-vie d’Alain Berset déguisé en J.K. Rowling pour échapper à son chauffeur d’amant; mort empaillé, il laissait la place aux problèmes de relation père-fille et à des répliques cinglantes : « La vie, c’est un bon bain chaud ou un gros tas de fumier. »
Vendredi 11 octobre 2019 nous étions à Château-d’Oex pour 2 Micromédies dans le merveilleux festival du Bois qui Chante. On a raconté l’histoire de Lisa, réparatrice de vélos, ayant elle-même peur d’abandonner les deux petites roues. Qui retrouve son père, boulanger accro à la farine qui se ment à lui-même en se persuadant d’être heureux. Et l’histoire de Jack, qui vit aux Bahamas et qui est amoureux de Marisa, prof de yoga, vexée qu’il ne se souvienne pas d’elle alors qu’ils étaient à l’école ensemble.
Samedi 28 septembre 2019 nous étions à Bossonnens.
Jeudi 22 août 2019 nous étions au Temple St-Laurent dans le cadre du festival des musiques improvisées. Nous avons constaté un meurtre dans un EMS commis par un résident, rencontré un policier qui ne voulait pas être un personnage principal, suivi une stagiaire très bizarre et assisté à une mise en quarantaine due à des produits toxiques provoquant l’immortalité avant de conclure sur un final mettant en scène un hélicoptère et une perceuse.
Du 11 au 14 juillet 2019, nous étions au WISE de Clermont-Ferrand (F). L’occasion pour nous de célébrer la reprise de communication entre une ex-championne de surf et sa fille, de voir son élève expert-comptable s’associer à elle pour une nouvelle entreprise, et de découvrir un vieux monsieur sur un banc de gare, une célibataire à l’âme durcie et le requin Bruno. « Avoir quelqu’un / Pour vous attendre sur le rivage / Pour vous aider à tourner la plage / Pour redonner et prendre de l’âge » fut un grand succès.
Mercredi 3 juillet 2019, nous étions à l’aula de Béthusy pour une scolaire enflammée devant 360 élèves. Réginald, vendeur porte-à-porte chez L’Oréal, se retrouvait piégé dans une gare mystérieuse et fantomatique. Dans le vrai monde, Boissier et Juliard étaient chargés d’enquêter sur sa disparition et découvrait que Réginald avait la vie éternelle grâce à une expérience de L’Oréal dans les années 80. Les fantômes de la gare avaient tous un point commun : quelque chose qu’ils n’avaient pas osé dire à quelqu’un. Réginald comprit alors qu’il devait demander pardon pour avoir abandonné lâchement une assistante de l’Oréal. Le train vers l’au-delà arrivait en gare et embarquait tout le monde vers sa délivrance.
Jeudi 9 mai, nous étions à l’Alambic (Martigny) en dépannage-annulation pour faire un Concert Improvisé du feu de dieu. Teddy le footeux, Skølpe, La plage abandonnée et Tom-Tom l’éboueur furent nos plus grands tubes de la soirée !
Jeudi 2, vendredi 3 & samedi 4 mai 2019, CMI au CPO-Ouchy, Lausanne – 20h00
FLOW : un projet spécial et soutenu par la Loterie Romande, le Canton de Vaud, le Pourcent Culturel Migros et la Fondation Ernst Göhner
Jeudi 2 mai 2019, nous étions au CPO-Lausanne. Nous avons raconté l’histoire de deux amies qui partent faire du camping, de belettes paresseuses à la conquête du monde et de Kushtrim, un jeune pédiatre albanais qui a pour mission de renouer avec ses origines. Tous se sont retrouvés à Rome, transformés en belettes; ils vivent désormais heureux, Dans un monde de fête / Sans loups / Sans renards / Que des belettes.
Samedi 4 mai 2019, on a raconté l’histoire de deux couples de Suisses en chanson au bord d’un lac sans poissons ou en string à Rio. La tante s’appelait Nirvana et la brocante s’appelait revient (parce qu’en fait c’était des objets à louer). Une histoire dans laquelle la fourchette a eu toute son (immense) importance.
Mercredi 10 et jeudi 11 avril 2019, nous étions au Gymnase du Bugnon pour 2 représentations scolaires : une mère divorcée découvrait qu’elle était l’héroïne d’une bande dessinée avec Baby Caribou, & un amour devenait réciproque grâce à un week-end en montagne et un peu d’insistance (Guido, le guide chasseur de vampire provoquait la chute de Vampousse, le dernier vampire des Rochers-de-Naye. Une histoire où l’amour était plus fort que l’ail, faire de la peine était sexy, et la moyenne mondiale de nombre de jambe par humains était inférieure à deux).
Vendredi 5 et samedi 6 avril 2019, grand week-end payernois : deux scolaires (un drame à Tel-Aviv et un labyrinthe de science-fiction) et une publique à Hameau’Z’Arts, où des paires de chaussettes finissaient par célébrer un mariage dans un avion pour l’Argentine.
Dimanche 31 mars 2019, nous étions au Théâtre du 2.21 pour un midi21 qui narrait le processus de répétition de la Fête des Vignerons, un abus sexuel sur une figurante et une chorégraphie de molécules de glyphosate.
Jeudi 28 mars 2019, nous étions au Festival des Grottes (GE) pour une Micromédie Musicale Improvisée.
Jeudi 21 mars 2019, nous étions en Micromédie Musicale Improvisée à l’ABC, Lausanne. Avec Daniel, Quentin et Yvan, nous avons raconté l’histoire du chef de la gare de Morges dépossédé de son espace vital, de l’esprit du saxophone et des stratégies d’intégration sociale dans un petit village.
Dimanche 24 février 2019, nous étions avec l’AJAR au Théâtre de Beausobre dans le cadre du Coucou Project. On nous a donné le SMS « J’arrive bientôt, Bébé », et on s’est lancé dans une relecture d’Oedipe avec Sabine dont les habits couinaient, une Volvo à 4 étages et un débat enflammé sur l’engagement amoureux et la liberté individuelle.
Vendredi 15 & samedi 16 février 2019, nous étions au CPO-Ouchy, Lausanne où on nous a donné un bouquin qui parlait de moyen-âge en guise de suggestion. On a terminé à 5 sur un rap de cheval. Quoi de plus normal ? Samedi, on a raconté l’histoire d’un couple condamné à s’aimer, et du vol de tous les guichets de poste du canton de Vaud par des tortues de mer. Il y a eu du cross-fit, du rampon et une mission plus importante que l’amour.
Vendredi 25 & samedi 26 janvier 2019, nous étions au CPO-Ouchy, Lausanne. Le vendredi, on a chanté l’aventure trépidante du prince Jonas, parti au Moyen-Orient découvrir les plaisirs de la cuisse sur les conseilles avisés d’un sénéchal plutôt louche. On a raconté la fuite de la fille du Sultan et la mission de Juliette, toutes deux dramaturgiquement prêtes à endosser le premier rôle de l’histoire, mais vite rattrapées par leur condition de personnages féminin. On a narré la prophétie de Ali Ben Salamak, la mort de la fille du Sultan écrasée par l’enclume aux milles corbeaux, ainsi que le suicide du jeune prince, contre son gré, parce que, hey, la vie, c’est pas toujours comme dans les contes.
Le samedi, c’était les tribulations post-apocalyptiques d’Heather, Dylan et Chic & Choc, avec un personnage de général des armées des Etats-Unis qui débarquait à la fin comme la grêle après les vendanges. « Visez la tête / Visez le coeur / Il faut sauver / Notre bonheur » fut un réel succès.
Samedi 8 et dimanche 9 décembre 2018, CMI au théâtre Waouw, Aigle
Mercredi 5, Jeudi 6 & Vendredi 7 décembre 2018, Micromédies Musicales Improvisées au Théâtre du Vide-Poche, Lausanne
Du jeudi 29 novembre au samedi 1er décembre 2018, 4 spectacles au Festival Impulsez, Toulouse
Samedi 24 novembre 2018, Micromédie Musicale Improvisée à la Maison du Levant, Lausanne
Vendredi 9 novembre 2018, chansons improvisées à la Bibliothèque de Vevey, Nuit du Conte – 19h00-23h00
Mardi 30 octobre 2018, CMIxAJAR au Bourg, Lausanne sur une invitation de Tastemot. On nous a donné « Le Banquet » de Platon, un prof de philo arrogant et Rosemary’s Baby. Alors on a improvisé autour des retrouvailles de 20 ans de gymnase, d’un Jean-François mythomane et égocentré, d’un four qui explose et de la paternité d’Harry Potter.
Samedi 27 octobre 2018, CMI à l’Echandole, Yverdon-les-Bains on nous a suggéré une tyrolienne et le vent des vacances en Camargue. On a déliré autour d’une escapade à cheval, de faire l’hélicoptère avec son zizi et de passer la frontière italienne.
Dimanche 14 octobre 2018, Micromédie Musicale Improvisée au Festival le Bois qui Chante, l’Etivaz
Vendredi 12, samedi 13 & dimanche 14 octobre 2018, CMI au CPO-Ouchy, Lausanne; on nous a donné des schtroumpfs et on a visité Gargamel; on nous a crié que c’était magique et on a fait un tour de prestidigitation; on nous a fait des allusions japonaises et on a créé des illusions asiatiques. C’était grandiose.
Jeudi 4 octobre 2018, Micromédie Musicale Improvisée à l’ABC, Lausanne
Samedi 18 & 25 août 2018, en mode chansons improvisées de rue, Echallens, Fête du Blé et du Pain
Jeudi 13 septembre 2018, Micromédie Musicale Improvisée à l’ABC, Lausanne; c’était l’histoire d’un couple qui se perdait dans un parc naturel avec plein d’animaux.
Dimanche 9 septembre 2018, Brunch & Tartines improvisées, Maison de Quartier Sous-gare, Lausanne; ça parlait de danser sur des tables en sirotant du champagne, et on a eu droit à un beau compliment de l’organisateur:
Bonjour ! Votre spectacle est vraiment remarquable, tant dans votre capacité à nous entraîner dans vos mondes que dans les impros musicales géniales et extrêmement originales. C’est évidemment avec enthousiasme que je vous recommanderai à un autre prestataire. Encore merci pour le très bon moment que vous nous avez fait passer. Meilleures salutations à toute la troupe et à une prochaine fois chez nous ! Amicalement, Vincent
Samedi 22 septembre 2018, Micromédies Musicales Improvisées aux 20heures de Musiques de Romont
Les 18, 19 & 20 janvier 2018 au Théâtre du Vide-Poche, Lausanne (Micromédies Musicales Improvisées); des histoires d’animalerie, de KIA perdue dans le parking, de mariages réarrangés, de dernière volonté d’aller au domaine des Granges, de caca et des amours entre un loup, un lynx et une lapine.
Les 22 & 23 décembre 2017, 2 & 3 février 2018 au CPO-Ouchy (Lausanne); vendredi, c’était une quête de la figure du père où les tisanes sont la clef des réponses mais aussi la clef de la grotte, grotte dans laquelle le serviteur Victor admire des peintures faites par un noble habillé d’une serviette. La danse des « esfruits » lui fait traverser les couloirs de l’espace et se retrouver dans la librairie suisse-allemande KRAFT où il renoue avec son fils qui n’a qu’un souhait: que son papa rentre à la maison afin qu’il puisse avoir une vie de famille normale. Les retrouvailles entre le père et la mère nous emmènent dans leurs souvenirs écossais, où une tisane bien de chez eux scella jadis le destin de la famille.
Le 25 novembre (Micromédie) au Carré Noir (Bienne)
Le 16 novembre (Micromédie) au Bleu Café (Neuchâtel)
Le 10 novembre à la bibliothèque de Vevey (Micromédie) dans le cadre de la Nuit du conte
Le 22 septembre à la Fête des Vendanges de Lutry
Le 23 septembre au Musée Olympique à Ouchy-Lausanne
Les 6 & 7 octobre auCPO-Ouchy (Lausanne)
Le 24 août, nous étions avec Eustache dans une salle des fêtes de Montbenon blindée dans le cadre de Lausanne Estivale.
Le 15 juillet, nous jouions en apéritif de la Schubertiade à Yverdon-les-Bains, dans le cadre des rendez-vous de place; on a chanté les louanges de Pestalozzi et ému une future mariée qui enterrait sa vie de jeune fille.
Le 9 juillet, nous étions au Festi’Cheyres en version Micromédie: l’occasion de s’adapter à l’averse et de faire de la CMI sous cantine!
Le vendredi 23 juin 2017, nous étions sous le chapiteau de l’Alchimie, à Bercher, pour une CMI précédée par un match d’impro de démonstration encadré par les CMIstes!
Le samedi matin 10 juin 2017, nous étions au Tarmac Festival de Renens.
Le 9 juin 2017, nous étions au Théâtre Barnabé, à Servion, avec Eustache. Nous avons demandé un SMS et une occupation projeté pendant l’été. On nous a donné « J’arrive now » et « bronzer sur la plage en Italie« , l’occasion pour nous de parler de l’amitié contrariée de Félix-François et Bernard, d’une séance de coiffure thaïlando-italienne, d’une opération mammoplastique très sensuelle et d’un cours d’auto-école qui généra une sublime chorégraphie avec des chaises. L’émeute devant 250 spectateurs conquis!
Le 13 mai 2017, nous étions à la Fête cantonale des chanteurs à Echallens, en version rue.
Les 21 & 22 avril 2017, nous étions au CPO-Ouchy, Lausanne pour une histoire de club de soutien autour d’un monosourcil. S’est ensuivi une fable contemporaine sur l’acceptation de son corps, les boîtes à musique et les caddies de supermarchés. Le samedi soir, on nous a donné crumble aux frites comme suggestion de base. On a sauté sur l’occasion pour faire revenir des monsieurs patates en cubes, pour déglacer des nourrices au paradis et pour enfourner des tartes aux artichauts.
Les 24 & 25 février 2017, nous étions au Cazard pour deux dates-anniversaires organisées en collaboration avec l’AVLI! L’occasion de proposer une CMI extra-large (12 artistes sur scène!) qui parlait de Schaffhouse et de bibliothèque, de se poser des contraintes le samedi soir et de terminer dans l’apothéose d’un concert entièrement improvisé!
Les 17 & 18 février 2017, nous étions au CPO-Ouchy, Lausanne: l’un de nos spectateurs nous a confié sa surprise d’avoir vu des adultes, dans le train, laisser leurs places à des enfants. Nous avons ensuite raconté l’histoire d’une yogin (n.f.: personne pratiquant le yoga) en voyage à Davos pour oublier son ex, d’un contrôleur CFF en slip, d’un hypnotiseur-psychiatre et d’une femme qui a tout plaqué pour finir par se marier avec Beat, le promoteur immobilier grison. Comme le soulignait si justement notre chant final: Chakra sa route, chakra son chemin.
Le samedi, après avoir parlé des rêves avec le public, nous avons reçu la suggestion des mécanismes narratifs des jeux-vidéo. S’ensuivit une aventure dantesque à la recherche d’Enzoth, le roi des ténèbres et de ses sbires corbeaux, dans laquelle Sandra la souris – aussi appelée « La Pierre Angulaire du Monde » et Florian l’éleveur de quinoa durent souvent choisir leur destinée avant la fin du chronomètre. Une histoire sans Happy End qui nous apprit que, quand on met la main dans un chapeau, on en ressort souvent une épée.
Les 11 & 12 février 2017, nous étions au Théâtre du Reflet à Vevey pour la Saint-Valentin, avec l’orchestre Eustache et l’AJAR: des love songs autour de Peugeotte la voiture, des histoires de cupidons en pyjama après la bombe et de la techno russe. Deux très grosses soirées devant un public ravi de la fusion des trois collectifs mariés dans l’écoute, l’humour et la poésie. Julien Mudry en a même parlé ici!
Les 27-28-29 janvier 2017, nous étions au Théâtre du Vide-Poche, à Lausanne, en version Micromédie Musicale Improvisée: des histoires de pyramide d’Horus the First, de Miroslav le baron de la drogue, de foyer dans une cabane de montagne, de boiler en panne, de jogging télécommandé et d’enfant fantôme. Six performances d’acteur.
Les 12 & 13 janvier 2017, nous étions à l’Esprit Frappeur de Lutry. L’occasion pour nous de raconter une histoire de couple d’adolescents et de maison hantée. Le vendredi, c’était l’histoire d’un homme, Bertrand (ou Nicolas, ça dépend) qui partait pour le Québec acheter une maison étrange de laquelle personne ne ressortait en vie. Nicolas (ou Bertrand, ça dépend) allait pourtant connaître un destin différent peuplé d’orignals (ou d’orignaux, ça dépend), de vendeurs d’oranges, de musiciens amateurs, de tenniswomen et de propriétaires mal intentionnés. Un scénario qui a ravi les superstitieux et qui, avec passion, a touché du bois.
Le 19 décembre 2016, nous étions à Villeneuve pour 2 représentations scolaires. L’occasion de présenter la section d’anglais d’une université en plein déclin: Une professeure qui rêvait d’être comédienne, un assistant qui rêvait d’être professeur et un apprenti en intendance qui trouvait sa voix en récitant du Hamlet. Un travail bien fait est un travail réussi.
Au deuxième service, nous embarquions la centaine d’élèves dans un univers dystopique où l’on enfermait les gens mal élevés. Sourires forcés, bonnes manières policées et compliments aseptisés. Un père et sa fille rebelle réunirent tous les impolis pour détruire le système avec énormément de courtoisie.
Le 18 décembre 2016, nous étions à l’Uptown Geneva pour une CMI privée et exclusive d’un évènement de Noël. L’occasion de demander un lieu (la cabine du capitaine d’un petit bateau) et un SMS (un accusé de réception de facture chez Bouygues). On a narré la survie d’un couple, échoué contre vents et marées sur l’île-yacht d’un richissime DJ qui leur faisait découvrir l’importance de la bonne communication par le biais d’une « grosse soirée ».
Le 17 décembre 2016, nous étions à la Grange de Dorigny pour chanter l’histoire d’une collocation végétarienne qui se recréait après 10 ans. Il y eut des fous, des revenants, Pierre, Chloé, des parents en garantie de loyer et un saxophone. Grand final avec les résidents d’ImproLido.
Le 13 & 14 décembre 2016, nous étions au CPO-Ouchy, Lausanne. L’occasion de suivre un groupe d’amis qui s’offraient des cadeaux de Noël par tirage au sort. Facts: les licornes sont attirées par les gens heureux; elles dépérissent quand elles sont enfermés trop longtemps dans un placard; les filles de joie portent bien leur nom.
Le lendemain, Brigitte et Mikal nous parlaient de « nager avec les dauphins » et de la beauté de « l’actrice dans Titanic. » Ni une ni deux, on a chanté l’histoire de cinq passagers d’un paquebot qui, malgré les vocalises de l’iceberg, s’en sortent en nageant avec les cétacés. Un spectacle plein de rimes en « phin », de psychologues servis avec des raviolis en conserve. « Je surfe sur l’océan de mes plaisirs. »
James Cameron, appelle-nous au 079 393 85 86, on a plein d’idées pour Titanic II.
Les 29 & 30 octobre 2016, nous étions au Théâtre de Colombier, dans la région de Neuchâtel. L’occasion pour nous de vivre les éclats d’une famille qui partait en morceaux: une mère abandonnée par un mari parti chercher des croissants; Kevin et ses rêves de devenir peintre; tonton Fabrice, l’artiste raté et le mari trompé (elle couche avec son thérapeute); Rohrschach qui sait ce que les dessins veulent dire et Justin qui a déjà touché des seins. Amis de la peinture, bonsoir.
Dimanche, on a raconté l’histoire d’écrivains indonésiens: une aventure poétique dans laquelle les chambres d’hôtel respirent, les murs transpirent et les lits couinent. On a chanté que la friture pouvait être une belle preuve d’amour, et que le bonheur était possible dans un ménage à cinq (six avec le chien).
Les 14 & 15 octobre 2016, nous étions au CPO-Ouchy, Lausanne. L’occasion pour nous de raconter l’histoire de deux cousins fanatiques de lutte suisse. Dans leur labo de chimie, Gustave et Maryse rêvaient d’autre chose. Quelques tas de sciure, un train S1, un chœur d’hommes, un temple bouddhiste et un départ à la retraite: « Et si les rêves pouvaient s’additionner? »
Le samedi soir, nouvelle histoire: les péripéties de Claire qui vivait une grossesse pas comme les autres. Il y avait sa voisine-espionne, un couple qui voulait adopter son enfant, ses deux amants, ses parents, une voyante qui devait boire du thé froid et 1000 Judas. Le tison finissait par se remettre en ordre et tout se terminait bien.
Pour savoir qu’est-ce qu’on fume, explorez le dark net.
Les 3 & 4 octobre 2016, nous étions près de Coppet pour 3 représentations scolaires pleines de facéties improvisées: les histoires de Nicolas et Annabelle, dont les progrès en patinage doivent beaucoup à Eric Toulon, le coach de l’équipe de hockey de Chavannes-des-Bois aux JO; la réussite de Pablo, un jeune homme aux pieds courbés qui démarrait un restaurant de tortillas à la morue, tandis que son pote remportait le concours mondial de lancer de chips (à Stockholm en janvier); un duel de de danse endiablé sur fond de crise de couple – Jacky et Jeannette entre foxtrot-tango, rock acrobatique et valse-reggae.
Le jeudi 22 et le samedi 24 septembre nous animions les loges du Théâtre de Beausobre pour les 30 ans du théâtre. De quoi voir Renaud en tenue léopard, Mélanie en opéra-star et Lionel en retard!
Le 3 septembre 2016, nous étions au Multi’Face Festival à Orbe, Moulins ROD. On nous a donné un brunch en solo face au Léman et différentes options en matière de fromage frais. Alors on a raconté la vie d’un couple dysfonctionnel, d’un ami qui s’inventait une vie, d’une copine allergique au lactose et de Chester, le marionnettiste d’humains. Une partie de camping plus tard, les uns se retrouvaient et s’aimaient de nouveau, portés par le fil d’un manipulateur qui chantait du reggae.
Le 16 août 2016 au Conservatoire de Lausanne, nous jouions dans le cadre du Festival des Musiques Improvisées. Un couple au bord de la rupture errait entre vacances pourries, enfants cachés, vie rêvée au Brésil et des incroyables effets de slow-motions.
Le mardi 21 juin 2016 en création spéciale avec l’AJAR, pour la Fête de la Musique d’Yverdon-les-Bains; les histoires du fils de Pestalozzi, de l’homme qui marche très vite et de la bonne fée Echandule. Un concept-marathon de 8h00 à 21h00, suivi par plus de trois cent personnes.
Du 16 au 18 juin 2016, nous étions en Off du Festival Morges-Sous-Rire, avec une vingtaine de chansons par soir, improvisées pour les grappes de spectateurs: La file d’attente / C’est Mickaël, le rigolo / Sortie en famille / C’est le stress / Rencontre à Morges-sous-Rire / Et Bam Bam te voilà / Coup de foudre ou coup de pied au cul / Doobaa les bijoux / Mélaaaaaaanger les goûts et les couleurs / Rien que du soleil / Verspätung / Ode aux cupcakes / Veggie Burger en forme de coeur / Plic Ploc / Les rêves d’enfants / Amies de sortie / Himalaya, Caraïbes et Rio / La berceuse viking metal / Bye bye les poils / Pour la première fois je plane / Bye bye California
Le deuxième soir, c’était L’informatique, même le week-end / Partir découvrir le monde / Mon jardin à moi / Moi c’que j’veux c’est danser, danser, danser / Soum-Soum, le chat qui vomit / L’amour, l’amour, l’amour / Tacos, tacos, tacos / Le génie jurassien / La ferme aux saveurs d’autrefois / J’ai oublié, c’est pas grave / Ah, si j’avais plus de temps / Emma Bovary et sa DeLorean / Compulsif / On fait la fête sur mon balcon / Bientôt Montréal / L’amour s’écrit en chansons
Le troisième soir, c’était Le reggae-folklorique-rap / La diarrhée rigolote / On attend-tend-tend dans la file / Moi je baise avec plaisir / L’amour c’est nique-elle / Vous êtes sûr que vous avez le temps? / 2 minutes! Ah non, c’est bon / Finir sa bière / Un peu d’audace / Achète-moi ce collier / Se tromper ça arrive / Traversée des Alpes / Humour de merde / La piscine de Bellerive / Partis sans moi / Je veux écarter les orteils / Manger de la raclette / Thriller-Deadpool-« j’ai un oeuf dans ma poche » / L’école horticole pleine d’alcool
Les 28 et 29 mai 2016, nous étions à l’Esprit Frappeur pour raconter l’histoire de Sébastien, qui devait passer un grand concours de piano, coaché par un professeur fan de Liszt et Brahms, soutenu par sa maman Jacqueline fan de son professeur de méditation, lui-même fan de vaches sacrées et de bols aux symboles étranges, ainsi que la femme de ledit gourou Jocelyne, fan de rien du tout (une histoire qui a réjoui les fans de fans). Le samedi, c’était une histoire médiévale largement inspirée d’une série américaine tout à fait à propos, avec des hommes assoiffés de pouvoirs, tous affiliés les uns aux autres on ne sait plus comment, lancés dans une quête désespérée mais soutenus par des loups, une sorcière qui ne meurt jamais vraiment et un barde maniant allègrement les chansons à geste plutôt érotiques.
Le 30 avril 2016, nous étions en animation à la Bibliothèque-Médiathèque de Pully, pour quelques kilos d’histoires chantées entre le livres: l’occasion de narrer les péripéties du Seigneur Noir des scarabées, d’une souris du désert et d’une courtière en assurances qui se fâchait contre sa Ferrari. Oui, on fait aussi des histoires pour les enfants.
Le 4 mai 2016, nous étions à la Semaine d’Impro de Nancy pour un spectacle de malaaade, où il était question de garde partagée de chiens d’ornement, d’un pélican savant et d’une petite fille en fugue. Heureusement, l’amour ne connaît pas de race (top 50 dans plusieurs pays, probablement).
Les 22 et 23 avril 2016, nous étions pour la dernière fois sur la scène du Lido de Lausanne. Avec une certaine émotion, nous avons dragué au zoo en essayant de comprendre la mort d’un ligre et l’intolérance aux otaries. Une histoire tout en exubérance qui plut aux gens exubérants qui boivent les vases de fleurs dans les restaurants.
Le lendemain, inspirés par James Bond et le Roi Lion, nous avons raconté le dénouement d’une enquête sur la disparition d’un village kényan. Les agents secrets Clovis (un pigeon) et Francis (un lapin) ainsi que Madame Jonzier, sa fille et son voisin apprirent que l’on peut sauver l’humanité grâce à sa pilosité. Le tout sur un trampoline, évidemment. On se souviendra encore longtemps de la chanson des gnous.
Lundi 7 mars 2016, nous étions à Ollon pour deux représentations scolaires. On nous a donné « Les chaussettes volantes » et « deux amis qui déblaient la neige ». De quoi embarquer le public dans les aventures d’un studio de cinéma envahi par les sbires de Chaussette-Man (copyright CMI 2016). L’après-midi, c’était la fugue d’Ophélie: un mélodrame entre la disparition d’une fille de divorcés et de vieux potes qui faisaient leur coming-out. Pour allier les références subtiles au mariage gay et le cinéma d’horreur des années 1980, faites-nous confiance.
Le 23 février 2016, nous étions à Estavayer-le-Lac pour deux représentations scolaires devant plusieurs centaines d’enfants, le temps de chanter les aventures de deux écoliers persécutés par leur directeur et les errements paléolithiques de l’inventeur de la machine à voyager dans le temps. H.G. Wells, François Truffaut et Anne-Catherine Lyon auraient été fiers de nous.
Le 20 février 2016, nous étions à Marly dans la région de Fribourg. Nous y avons improvisé l’histoire d’un candidat au conseil communal qui s’amourachait d’une Belge sur des sites de rencontres en ligne. Sa femme venait récupérer son amour, s’engageait en politique et devenait la pote de Simonetta Sommaruga.
Les 12 et 13 février 2016, nous étions au Théâtre de la Ruelle à la Chaux/Cossonay pour raconter des histoires de tomates, de psychothérapies, de chats margay et de libérer l’association Diana. Deux soirs qui ont conquis les amateurs de chasse et de végétarisme.
Les 5 & 6 février 2016, nous étions à Ependes pour les soirées de la fanfare de Pomy, où nous avons improvisé les aventures du syndic de Pomy qui rêvait d’être un auteur à succès, et les péripéties d’une hôtesse de l’air qui voulait piloter des avions de chasse. L’émeute.
Au Festival Impulsez! de Toulouse, les 20 et 21 novembre 2015. On a joué l’histoire d’un restaurateur hispano-italien qui perdait l’amour de sa vie, atteint d’une maladie génétique dégénérative. Le soir d’après, on changeait d’ambiance avec un Living Room mené tambour battant et un Concert Improvisé qui créait l’émeute!
Les 30 et 31 octobre 2015, nous étions au Lido Comedy & Club (Lausanne): le vendredi, le public nous a suggéré « une gare » alors on a improvisé les tribulations de couples qui s’entre-croisaient dans les trains et les voyages, entre l’Allemagne et la Suisse, la friendzone et l’homosexualité, le tube ultrapop et le karaoké ultrakitsch.
Le samedi, on nous soufflait l’idée d’un magasin de meubles et de vieilles retrouvailles. On a déliré sur l’amour qui se construit comme une étagère IKEA, une recette de cuisine dans l’espace et la séquestration d’une fiancée dans une cave insonorisée. Du grand art au parfum d’halloween, des chants tribaux et des fissures spatio-temporelles.
Le 26 septembre 2015, nous étions au Festival DécouvRire (St-Prex) en version courte: l’occasion de faire une chanson rock d’un garagiste spécialiste dans les pare-chocs.
Le 16 septembre 2015, la troupe faisait une battle avec l’AJAR (pour Association des Jeunes Auteurs Romands) au Lido, pour une rhapsodie endiablée, rythmée par le débit de l’imprimante et le rayon-beamer ensoleillé. Et on tuera tous les affreux. Compte-rendu complet (et complètement décalé) ici.
Du 20 au 26 juillet 2015, nous étions les hôtes de la Ruche du Paléo Festival de Nyon. L’occasion de narrer les péripéties musicales de Grandula, du Technopape et de prendre des snapchats d’une foule quotidienne en délire. Des souvenirs plein la tête, des étincelles plein les yeux. Merci Patrick Chambaz, Merci la Ruche, Merci Paléo.
Le vendredi 19 juin 2015 au Lido Comedy & Club (Lausanne), on a demandé à Gwenaëlle quelle était sa recette préférée. Ça tombait bien, elle avait préparé des cupcakes pour séduire Virginie, tout en lui parlant de sa vésicule biliaire. Alors on a chanté les aventures d’un couple fusionnel en recherche professionnelle, tandis qu’une aquagymnaste finissait par décéder d’un cancer après avoir consommé un unique amour lesbien avec sa colloc’. Ça a l’air déjanté (écrit comme ça), mais c’était beau-mais-triste, plein d’humour, de chant et de larmes. Triomphe et stand-up ovation à la fin, ça fait toujours plaisir.
Le samedi 20 juin, on demandait une année à Sandra-Lynne, qui nous donnait 1750, avec une princesse en haut d’une tour d’un château français. On est resté perplexe (face à ce mélange de Moyen-Âge féerique éclairé par des Lumières flamboyantes), tout en narrant une belle Plaisanterie (Tchekhov) médiévale aux accents reggae. L’intendant mourait après l’entr’acte, la dame de compagnie rockait avec le kappellmeister et la princesse finissait dans une hutte de paysans berrichons. Voilà qui a réjoui les férus d’insomnies royales, de courtisans québecois et de land-art forestier.
Le vendredi 5 juin 2015 à la Chaux (Cossonay), on a discuté un peu avec Tania, une gymnasienne qui s’était rafraîchi au bord du lac (Vidy) dans l’après-midi et qui se destinait à des études d’architecture; alors on a raconté les espoirs professionnels et les égarements amoureux de cinq étudiants lausannois: Léa, François, Pascal et les autres. Une histoire d’amour très chorale qui a enthousiasmé les aficionados des révisions d’examens, des phobiques des vols en avions et des chèvres tétanisées.
Le samedi 6 juin dans le même beau théâtre, Renaud a entamé une discussion avec un monsieur du public qui est embêté avec la garde partagée de son chien mais qui aime bien boire des cocktails de temps en temps. Alors on a joué l’histoire d’une famille dont le père peint en cachette et dont le voisin s’invite un peu trop souvent. Chien, perroquet, inspecteur de police… Tous les animaux y sont passés et le happy end du « changement de vie » sera bientôt dans les bacs. Une histoire qui a ravi les amateurs de meurtre à la clef de voiture, de lime à ongle et de saucisse au mètre. Merci la Chaux ! Merci la Ruelle !
Dans le cadre du Festival de l’Imaginaire organisé au théâtre Pitoëff par la Compagnie Confiture, on a pu jouer quatre énormes dates: le lundi 4 mai 2015, on a demandé un titre (Orlando et l’impatience), un petit problème (la pluie et ses conséquences) et un lieu (une île grecque). On a chanté les déboires d’une famille dysfonctionelle au son de la dance music et sur des rythmes trip-hop: un gosse esseulé, une mère en crise et un père désemparé. Une histoire qui a ravi tous les fans d’éruptions volcaniques, de virées en boîtes et de Guatemala.
Le vendredi 8 mai 2015, on a demandé un titre de film (le Grand Bleu), une caractéristique (empreint de magie) et un hobby (la peinture). Du coup, on a joué l’histoire d’un homme, malheureux en amour et d’un autre homme qui aiment la même femme. Celle-ci a rencontré deux pirates sur un bateau au large de Venise, de la Sardaigne puis à nouveau de Venise. Une histoire qui a fait plaisir à ceux qui aiment les peintures à base de dents, les souris de poche et le service de psycho-gériatrie.
Le samedi 9 mai 2015, on ne pensait pas qu’en recevant « le Mépris » de Jean-Luc Godard, les « beaux paysages » et le snowboard comme impulsions du public en début de spectacle, on finirait par un combat volant de super-héros sur les hauts de Sion. Heureusement, le Valaisan Méjean-Pierre (le méchant Jean-Pierre) a été vaincu et Léa a pu reprendre le poste de super-héroïne locale. Après la trahison des ordinateurs de bord et un meurtre à la raquette de ping-pong, on a constaté qu’il était difficile de faire dormir deux couples et un Parisien dans un petit chalet.
Le dimanche 10 mai 2015, on a reçu Le Petit oiseau de toutes les couleurs (Bécaud), l’année 1969 et les notes ré et fa. Alors on a chanté le projet de deux jeunes Combiers pour créer un Woodstock au Brassus, les amours naissantes du vieux syndic et de sa femme et les contemplations célestes de Buzz et Neil. Un vrai festival de tubes: Yes, we are all part of the same thing / Que je nem que toi / Liberté, sur le lac de la Vallée.
Le jeudi 30 avril 2015, on a joué 3 scolaires pour les écoles de Morges et environs, dans les foyers du théâtre de Beausobre. Il y avait un conte forestier qui parlait de Jean-Claude le cerf, Docteur le hibou et Pimpon le lapin, bien vite aidés par le couple de garde-forestier du coin pour libérer la forêt de la destruction (méchantes usines!). En deuxième partie de matinée, on chantait la lente marche vers la révolte d’une adolescente, prisonnière d’un environnement dystopique tiré tout droit de Hunger Games (méchant imperator!). Enfin, dans l’après-midi, c’était l’histoire d’un couple non marié qui voulait passer un week-end tranquille aux Diablerets. C’était sans compter sur la hargne des locaux, traditionalistes à outrances qui déclenchaient des avalanches à la légère (méchants villageois!). 480 élèves en une journée, bim, on est des guerriers de la créativité!
Les vendredi 19 et 20 décembre 2014, à l’Improvidence (Lyon), nous avons demandé un mot et une relation. On nous a donné « prévision », « provision » et « surprise » (oui, la volontaire hésitait), et « un couple de parents qui se disputent tout le temps ». Alors on a raconté l’histoire de Patrick, incapable de se soucier d’autre chose que sa carrière professionnelle, s’agrippant à bout de bras à une histoire sentimentale convenue, qui tentait de regagner le coeur de sa femme chérie. Une chanson-surprise de haute qualité en bouquet final: « Non j’déconne ».
Le samedi, on a demandé un titre et un souci de la vie quotidienne. Aurore nous a suggéré « 1Q84 » et « Je m’entends moyen avec ma patronne à l’hôpital », alors on a improvisé un roman dystopique dans une clinique, sur fond de manipulation de virus pour transformer la population mondiale en zombies. Réplique mythique d’un mort-vivant décharné, à la voix gutturale: « Chef, est-ce qu’on pourra s’arrêter pour faire un pic-nic? Et est-ce que vous avez pris du fromage à tartiner? »
Le jeudi 4 décembre 2014, à l’Esprit Frappeur, on a demandé un titre et une relation. On a eu « La Treizième malentendue » et « amants », alors on a raconté l’histoire d’une fille aux moeurs légères, incapable de choisir entre son mari, son amant, et le voisin de son mari (qui avait été chargé de démasquer l’amant). Une histoire d’adultes et d’adultères qui nous a entraîné au Japon, dans un chalet de montagne et à la croisée des chemins.
Les vendredi et samedi 31 octobre et 1er novembre 2014, au Lido Comedy & Club de Lausanne, nous avons donné 2 représentations à guichets fermés.
Le vendredi, on a demandé un lieu et une relation: on a eu « la planète Mars » et « amants », alors on a raconté le processus de sélection des astronautes hélvètes en Suisse centrale, dans une histoire mêlant l’accent russe et bernois, le choix cornélien d’un ami populaire et des tentatives de séduction dans le local des photocopieuses.
Le samedi, on a demandé une année et le titre de la première chanson : on a eu « 1972 » et « Sous un feu ardent », alors on a chanté la rivalité de deux amies pour le même homme, un hommage brûlant à l’époque disco et les péripéties d’une hôtesse paralytique.
Seigneur, que c’était formidable.
Les lundi et mardi 28-29 avril 2014, au Théâtre Benno Besson, nous avons donné 4 représentations scolaires devant des élèves de 7e et 8e; sages comme des images, mais rieurs et facétieux.
À la première représentation du lundi, on a demandé un lieu et une relation. On nous a donné « la forêt amazonienne » et « un couple dont la femme s’appelle Georgette ». Alors on a raconté l’histoire d’un biologiste passionné de nature, qui mettait en danger son couple pour se consacrer entièrement à la sauvegarde du territoire des indigènes nombrilistes; une histoire qui a enchanté les fans de rituels de peintures de guerre, d’industriels véreux et d’attaques sournoises d’arbres en mode furtif.
À la deuxième représentation du lundi, on a demandé un lieu et une profession. On a eu « la gare de Lausanne » et « joueur de football », donc on a raconté l’ascension d’un joueur au sein du Lausanne-Sport, en compagnie de Sandra l’attaquante discriminée, Joao Vladimir Bolosza le fébrile buteur et Rinaldo le musicien de stade. Un conte des temps modernes qui a illuminé la journée des connaisseurs de trains, de Rochat & Moser et du trou du réseau aux alentours de la Sarraz.
À la première représentation du mardi, on a demandé un lieu et une relation. On nous a donné « le théâtre Benno Besson » et « cousins ». Alors on a chanté les aventures de Fred et Charlie, directeurs de théâtre fraîchement élus qui peinaient à renouveler le répertoire yverdonnois. Heureusement que le personnel se mettait en quatre pour remplacer la production polonaise de Caïn et Abel, jouée en bilingue et adaptée pour Broadway. Une représentation haute en couleurs destinées aux enthousiastes de la politique culturelle, du costume de saucisse de l’acte III et des prix culturels nord-vaudois.
À la deuxième représentation du mardi, on a demandé un lieu et une profession. On a eu « un McDonald » et « vendeur de voiture », et on a narré la tragédie d’un frimeur à minette qui renversait une mémé à poussette après s’être acheté un bolide d’occasion. Puni à des travaux d’intérêt général dans un fast-food, celui-ci trouvait l’amour au coin d’un cheeseburger. Un show qui a réjoui les amateurs de tribunaux américains, de thérapies expérimentales et de files d’attente interminables.
Le vendredi 28 mars 2014, au Collège Derrière-la-Tour de Payerne, nous avons donné un marathon de 3 représentations devant des élèves de 10e et 11e; sages comme des images, conquis et touchés (et aussi rigolards).
À la première, on a demandé un lieu et une relation. On a eu droit au « Collège de Grandcour » et à « un couple ». Alors on a raconté les épreuves de deux enseignants gays qui devaient feinter le service de contrôle des moeurs et un directeur qui virait les gens très facilement.
À la deuxième, on a demandé une époque et une profession. Les élèves nous ont donné « le Moyen-Âge » et « policier », et on a joué les intrigues alambiquées de complot à la cour du Roi Guillaume.
Enfin, à la troisième, on a demandé un titre de film et un légume. On nous a suggéré « Titanic » et « une carotte »; alors on a joué le détournement d’un navire dans les Mers du Sud, par un gangster marseillais qui n’assumait pas son rôle de père (et en souffrait).
Des histoires qui ont ravi les amateurs de profs de gym, de cottes de maille et de carottes empoisonnées.
Le samedi 1er mars 2014, au Lido Comedy Club, nous avons demandé un titre, une époque et un objet. On nous a donné La Métamorphose, les années 1870 et une raquette. Alors on a raconté l’histoire de la cousine Friedrich, enlevée par des Franco-Prussiens qui se méfiaient de ses activités d’espionnage, libérée successivement par l’équipe du cousin Wilfrid, par son serviteur amoureux et par des kidnappeurs professionnels. Une histoire qui a conquis les fans de chansons en allemand, de syndromes de Stockholm et de cacas dans la neige.
Le vendredi 28 février 2014, au Lido Comedy Club, nous avons demandé un titre de roman, une relation et un lieu. On nous a donné Le miasme et la jonquille, deux amants et Ostermundigen. Alors on a raconté l’histoire de Sylvie et Jonas, qui s’empêtraient dans une relation gratinée, entre machinations financières et compétition amoureuse pimentée par les Potato Brothers. Une histoire qui a ravi les amateurs de week-end au chalet, de chaises musicales et de graisse de requin.
Le 14 décembre 2013 à la Grange de Dorigny, Lausanne, nous avons demandé un titre de roman et une relation. On a eu « La main de Dieu » et « un couple de divorcés », alors on a raconté l’histoire tragique de Brad, qui luttait pour conserver la garde de son fils, alors que la paroisse d’Essertines se rapprochait (au niveau marketing) de la paroisse d’Echallens. Une fable moderne qui a titillé les adeptes de confection de croissants au jambon, de football et de brigade des mœurs.
Le 7 décembre 2013 au théâtre le Caveau, Genève, nous avons demandé un titre de chanson et une relation. On a eu « le mec de la tombe d’à côté » et « père-fille ». Alors a joué l’histoire d’Emilie, défendue par son père du harcèlement passionnel d’un professeur de latin. Une histoire qui a enthousiasmé les adeptes de rap, de fiançailles durables et de stade de football.
Le 6 décembre 2013 au théâtre le Caveau, Genève, nous avons demandé une époque et le titre d’un roman. On a eu « Moyen Âge » et « la disparition », alors on a chanté la fresque du jeune Hadrien, jeune prétendant au trône d’Edouard (son père disparu), qui échappait à la félonie de son frère Arthur pour finalement régner mollement. Une histoire qui a enchanté les fans de chanson teutonne, d’attaques sournoises et de techniques de bât.
Le 5 décembre 2013 au théâtre le Caveau, Genève, nous avons demandé un titre de chanson et un lieu. Nous avons eu « I love sex » et « un yacht ». Alors on a chanté l’histoire d’une nymphomane échouée sur une île déserte, qui finissait par être séquestrée par un bègue dans une cave. Une histoire qui a ravi les fans de ravissement.
Jeudi 21 novembre 2013 à l’Esprit Frappeur, Lutry, nous avons demandé un titre de chanson et une relation entre deux personnages. Nous avons eu « Le Grand Incendie » (Noir Désir) et « grand-oncle » (et aussi « Aux Champs-Elysées » et « Dark Vador et son fils », mais on a initialement refusé…)
Alors on a chanté les aventures d’Arthur, un Parisien de 16 ans qui voulait s’émanciper de son grand-oncle en rejoignant une faction anticapitaliste. Trahi par le perfide James (un espion de l’UMP), rejeté par Clara (une pasionaria peu farouche), Arthur finit par s’attacher le respect de son oncle, au prix d’un emprisonnement à l’issue d’une manif’. Une histoire qui a ravi les amateurs de gaz lacrymogène, de tombes à fleurir et de limousines accidentées.
Jeudi 7 novembre 2013 au Lido, Lausanne, nous avons demandé un lieu et le titre d’un roman. Nous avons eu « Perroy » et « La Combustion humaine ».
Alors on a chanté les aventures d’un verbicruciste qui tentait de s’intégrer dans un petit village de La Côte en se faisant passer pour un romancier, et qui tombait dans les griffes de l’ambigu père Vinny. Une histoire qui a ravi les amateurs de mots croisés, de messe noire et de sex-toys.
Jeudi 31 octobre 2013 à l’Esprit Frappeur, Lutry, nous avons demandé un lieu et le titre d’un roman. On a eu « une cabane dans les arbres » et « le soleil de Scorta ».
Alors on a chanté l’histoire de Félix Huber-Scorta, un gosse surprotégé qui s’est affranchi de sa passion pour les échecs en devenant le champion de curling du club de Saignelégier.
Une histoire qui a ravi les amateurs de sports de glisse, de balade dans le Jura et de boudin noir.
Le 20 septembre 2103, à l’Aula du Collège en Brit à Yvonand, pour deux représentations scolaires. Devant 300 élèves conquis, nous avons conté les aventures d’une vache voulant faire du surf, d’un barman voulant apprendre du flûtiau et de Jester, le blond Australien arborant une coupe des années 90.
Jeudi 28 mars 2013 à la salle des Remparts, la Tour-de-Peilz, à 20h00
Le 8 février 2013, nous étions au 4e Festival d’improvisation théâtrale à Yverdon-les-Bains.
Le 7 décembre 2012, nous étions à la Grange de Dorigny.
Le 10 novembre 2012, nous étions au Festival Improvisible à la Tour-de-Peilz
Pour nos quatre premiers spectacles, nous étions au Cazard grâce à l’AVLI.